Les douces caresses d’Or du Soleil d’été,
Surgissent en ce printemps désolant, consolant
Le vivant mourant, riche et riant, insolant.
Cela lui sert de leçon, ce qu’il a été.
Le passé, l’age d’Or tant désiré, un baiser.
Une fin futile qui fut un festin frugal,
Les Images du passé sont déjà embrasées,
Sans prévoir un hiver lourd comme la cigale…
L’Or de ses caresses, le goût de ses fins baisers,
La lumière de ses yeux, l’argent de son sourire.
L’intensité des cieux, son amour de saphir.
Revient là, vivifiante vie d’amour méprisée,
Je t’aime et t’aime plus qu’un poème oublié au fond
I still loving you…
תגובות